Le fructose apparaît selon un nouvelle étude comme le moteur de la maladie métabolique. Le Pr Johnson et son équipe estime celui-ci comme étant à l'origine de l'obésité. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/oby.23920

En post-chirurgie de l’obésité, un des écueils à éviter est la perte de masse musculaire (ou masse maigre) trop importante. Une étude Italienne montre les retombées positive d’un doublement de apports en protéines durant la période d’amaigrissement massif.https://link.springer.com/article/10.1007/s11695-016-2382-yhttps://santinov-obesite.com/fr/blog/post/proteines-apres-sleeve-bypass.html

Syndrome de l'intestin irritable, Le Dr Cocaul propose à Marion d'utiliser la fourchette intelligente pour essayer de mettre fin à ses diarrhées, réduire ses maux de ventre et ses ballonnements.

Comme des millions de Français, Marion, Laetitia et Lukas souffrent de troubles digestifs - syndrome de l'intestin irritable, intolérance au gluten, brûlures d'estomac ou constipation. Le Dr Cocaul propose à Marion d'utiliser la fourchette intelligente pour réduire ses maux de ventre et ses ballonnements.

Manger lentement pour perdre du poids : Un facteur parfois sous estimé, mais scientifiquement prouvé.

Manger lentement est un élément très important pour réduire le risque d'apparition du diabète de type II. Voici les principales explications de ceci

Le reflux gastro œsophagien (RGO), en dehors de dysfonctionnement mécanique pur, peut-être accentué par la vitesse d'alimentation. Manger lentement réduit le reflux.

Le risque de syndrome métabolique (présence de signe accroissant les risques de diabète, problèmes cardio-vasculaires, AVC...) est corrélé avec la vitesse d'alimentation

Apprendre à manger lentement est un des éléments très important de la préparation à votre chirurgie bariatrique, ainsi que de votre suivi post-opératoire, et gage de succès à long terme.

La mastication est l'action de broyer les aliments avec les dents. Elle est bénéfique pour l'organisme à plusieurs niveaux : la digestion, la satiété, l'ossature, le plaisir ...

une étude Espagnole analysant 922 ovocytes de 205 femmes en surpoids ou obèses, bénéficiant d’une procréation médicalement assistée (PMA) a démontré que les ovocytes de ces femmes ont des concentrations plus faibles en acides gras oméga-3.

Les premières données françaises mettent en évidence que l’obésité (IMC ≥ 30 kg/m²) est un facteur de risque de développer des formes sévères d’infection au COVID-19